,AVOCAT FISCALISTE PARIS, ANCIEN INSPECTEUR DES IMPÔTS,PATRICK MICHAUD - Page 34

  • Doing Business 2013

     DB13.gifDoing Business 2013

    L’ENSEMBLE DU SITE

    Simulateur de Réformes

    Observer l’impact des reformes dans les domaines
    étudiés par Doing Business
    .

    Quelle est donc la place de la FRANCE

    Le Projet Doing Business mesure la réglementation des affaires et son application effective dans 185 économies et dans certaines villes au niveau infranational et régional.

    Lancé en 2002, le projet Doing Business analyse les petites et moyennes entreprises au niveau national et mesure la réglementation s'appliquant à celles-ci tout au long de leur cycle de vie.

    En collectant et en analysant des données quantitatives détaillées pour comparer les cadres réglementaires applicables aux entreprises du monde entier au fil du temps, Doing Business encourage la concurrence entre les économies pour la mise en place d'une réglementation des affaires efficace. Doing Business propose également des points de comparaison mesurables pour réformer et offre une source documentaire pour les universitaires, les journalistes, chercheurs du secteur privé et d'autres personnes s'intéressant au climat des affaires dans les économies du monde entier.

    Par ailleurs, Doing Business offre des rapports infranationaux détaillés qui couvrent les mêmes domaines de la réglementation des affaires ainsi que les réformes mises en place dans différentes villes et régions d'une même économie. Ces rapports fournissent des données sur la facilité de faire des affaires, classent chaque localité et recommandent des réformes pour améliorer la performance dans chacune des zones étudiées. Les villes sélectionnées peuvent comparer leur réglementation des affaires avec d'autres villes au niveau de l’économie ou de la région, et avec les 185 économies classées par le rapport Doing Business.

    Le premier rapport Doing Business, publié en 2003, portait sur cinq ensembles d'indicateurs dans 133 pays. Cette année, le rapport couvre dix ensembles d'indicateurs dans 185 pays. Le projet a bénéficié des avis d'autorités publiques, d'universitaires, de praticiens et d'observateurs. Le but initial reste de fournir une base objective pour comprendre et améliorer l'environnement réglementaire des affaires partout dans le monde.

     

     

  • Fraude Fiscale: Infractions et sanctions pénales

    fraude fiscale,infractions et sanctions pénalesfraude fiscale Infractions et sanctions pénales

     

    Etablissement stable, fraude fiscale et droit pénal

     

    La documentation de base
    ante 12 septembre 2012


    Les poursuites correctionnelles ont pour objet de faire prononcer par les tribunaux correctionnels des sanctions pénales à l'encontre des auteurs d'infractions fiscales qui procèdent d'une intention frauduleuse et sont érigées en délits en raison de leur gravité particulière.

    A ce jour le nombre de poursuite pour fraude fiscale est de l'ordre de 1.000 poursuites dont une  TRES petite poignée d'une TRES petite main pour fraude fiscale internationale( lire page 35 du rapport d'activite 2011 de la DGFIP) il serait interressant pour les citoyens de connaitre le nombre d'affaires pénales proposées à la CIF par la DVNI.

    Même nos parlementaires ont du mal à transpercer la muraille de chine .pardon de bercy

    Cour des Comptes : son rapport sur la DGFIP

    Cour des comptes sur la DVNI

     

    "L’internationalisation des échanges, la dématérialisation des procédures, la multiplication et la diversification des opérateurs transforment en profondeur les enjeux du contrôle fiscal. Face à ces évolutions majeures, l’organisation est restée, dans ses grandes lignes, celle des années 1980 et la mise en place, à compter de 2008, de la DGFIP, ne s’est pas accompagnée d’une réflexion sur les évolutions quantitatives et qualitatives à apporter aux moyens dédiés au contrôle fiscal."

    fraude fiscale,infractions et sanctions pénales
    source BOFIP depuis le 12 septembre 2012

    Chapitre 1 les poursuites correctionnelles pour fraude fiscale

     elles concernent le délit général de fraude fiscale et les infractions assimilées au délit général de fraude fiscale (chapitre1, cf. BOI-CF-INF-40-10),

      Section 1 : Délit général de fraude fiscale

     

    § Sous-section 1 : Éléments constitutifs du délit


    § Sous-section 2 : Mise en œuvre des poursuites


    § Sous-section 3 : Procédure judiciaire d'enquête fiscale


    § Sous-section 4 : Personnes responsables du délit


    § Sous-section 5 : Les peines

     

     Section 2 : Infractions assimilées au délit de fraude fiscale et délits spéciaux de fraude fiscale

     

     

    Chapitre 2 : Délits d'opposition à fonctions

     

    les délits d'opposition à l'établissement et au recouvrement de l'impôt :

    il s'agit du délit pénal d'opposition, individuelle ou collective, à fonctions 

       Chapitre 3 : Délit d'escroquerie de nature fiscale

     

    le délit d'escroquerie en matière de TVA est sanctionné par l'article 313-1 du code pénal, cette fraude représente un préjudice pour le Trésor, notamment par le remboursement de crédits de taxe fictifs

  • UE la solidarite financiere existe bien par Target II mais

     le sysrème target 2UE la solidarité financière existe bien :
    le système TARGET2

    Un de nos amis, Alex le banquier zurichois,  nous signale  que la solidarité financière entre les états de l UE  existe bien grâce au système target 2 alors que cette information est autocensurée

     

    Le sysrème TARGET 2 par WIKI



    mise à jour du 12 octobre

     

    la confimation du FMI

    Le rapport du FMI du 11 octobre 2012                                   le site du FMI

     

    « L’analyse exposée dans ce Rapport sur la stabilité financière dans le monde (GFSR) montre que malgré une récente évolution favorable des marchés financiers, les risques qui pèsent sur la stabilité financière se sont accrus depuis l’édition du GFSR d’avril 2012, la confiance vis-à-vis du système financier mondial étant devenue très précaire. Les efforts considérables qu’on de nouveau accomplis les dirigeants européens ont certes atténué les plus grandes craintes des investisseurs, mais la crise de la zone euro demeure la principale source de préoccupation. La perception des risques extrêmes concernant la redénomination de la monnaie a alimenté un repli des engagements financiers vers la périphérie de la zone euro. La fuite des capitaux et la fragmentation du marché qui en ont résulté ont fragilisé les fondements mêmes de l’union, à savoir, des marchés intégrés et une politique monétaire commune effective. »

     

    la tribune du 6 octobre

    A Genève, Le Prix Nobel d’économie Amartya Sen
    estime que les pays font trop d’austérité

    pour lire sa position diffusée par Le TEMPS
    Cliquer pour imprimer et lire

     

     

    Nos banques centrales se tiennent  donc par la barbichette

    BCE TARGET 2         Le site de la BCE

     

    Ce système oblige la BCE a couvrit les déficits des banques centrales nationales

     

     

    Une étude de l'institut allemand de recherche économique IFO mentionne que les déséquilibres au sein de la zone euro se manifestent dans les passifs et actifs des banques centrales au sein du système TARGET2. Selon cette étude, les recouvrements du compte TARGET de la banque centrale allemande sont par exemple passés de 5 milliards d’euros en 2006 à 323 milliards en mars 2011.

    Ce montant correspond aux déficits cumulés entre 2008 et 2010 des comptes courants des pays au centre de la crise de la dette – 365 milliards d’euro.

    Les auteurs de l'étude soutiennent que le système TARGET2 a donc permis des transferts massifs de ressources depuis les pays excédentaires vers les pays déficitaires. Les auteurs mettent en garde la BCE sur les dangers que fait courir l'accumulation de ces déséquilibres

     

      http://www.project-syndicate.org/commentary/sinn37/French [archive]

      (en) http://www.ceps.be/ceps/download/5904 [archive]

     

    En clair les pays créanciers sont collés aux pays débiteurs

     

     

  • PICSOU ne m'oubliez pas SVP !

    fPICSOU.jpg Picsou nous a écrit pour nous dire qu’il ne voulait pas perdre son épargne . 

    Bien entendu nous lui laissons la parole, celle en fait du prix Nobel d’économie 

    Notre bon sens paysan  sait qu’une dette doit être remboursée. Mais comment? 

    A ce jour de déflation, soit par le créancier c'est-à-dire l’épargnant ;

    soit  par le débiteur c’est à dire la masse des  braves gens  et ce sans dévaluation légale, euro oblige pour l’instant

    soit par les deux

     

    Une autre solution serait envisageable mais elle est auto censurée à juste titre  par nos politiques 

    Nous en reparlerons

     

     

    A Genève, Le Prix Nobel d’économie Amartya Sen
    estime que les pays font trop d’austérité

    pour lire sa position diffusée par Le TEMPS
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  • USA Vers une renaissance industrielle avec le gaz de schiste

    USA RENAIISANCE.jpgMADE IN AMERICA

    le rapport 2012 du BOSTON CONSULTING GROUP

    CLIQUER

    U.S.-Based Manufacturers Stand to Capture 2 to 7 Percent of Western European and Japanese Exports Due to Lower Labor and Energy Costs, BCG Research Finds

    Labor and energy costs will be especially important sources of U.S. competitive advantage in manufacturing. Adjusted for differences in worker productivity, which is considerably higher in the U.S., average labor costs of the other large developed economies will be 20 to 45 percent higher than those of the U.S. Only a decade ago, the same U.S. worker cost only 12 percent less than the average factory worker in Europe.

    Inexpensive natural gas will also boost U.S. competitiveness. For the foreseeable future, thanks to the recovery of vast U.S. underground gas deposits of shale, natural gas is likely to remain 50 to 70 percent cheaper in the U.S. than in Europe and Japan, BCG predicts. “That will translate into significantly lower costs for electricity generation, for fuel used to power industrial plants, and for feedstock used across many industrial processes,” said Justin Rose, a BCG principal and coauthor.

     XXXXXXX

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  • USUFRUIT TEMPORAIRE:un point civil et fiscal

     usufruit démembréLe démembrement de la propriété immobilière et mobilière est à la mode tant pour les particuliers que pour les entreprises notamment pour les avantagesd économiques et financiers que ce régime   légal peut apporter à défaut de financement bancaire


    Un usufruit très temporaire mais abusif

     

    Nous analysons ce régime aves les précautions à prendre notamment vis à vis de l'ISF et de l'abus de droit fiscal

     

     

     

    lire ci dessous

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  • ISF ET CONSTITUTION

    tourbillon.jpgContribution exceptionnelle sur la fortune

    L'article 4 de loi du 16 aout 2012  institue un complément d’impôt qui sera calculé sur la base de l’ancien barème progressif en vigueur en 2011mais sans plafonnement ni bouclier

     


     

     

    le conseil constitutionnel  a rendu sa décision le 9 aout

    Décision n° 2012-654 DC du 09 août 2012

    Lire § 26 

     

     

    La constitutionnalité du prélèvement  exceptionnel sur la fortune

    Commentaire des services juridiques du CC

    ISF ET CONSTITUTION.pdf
     

    pour lire et imprimer la tribune  

    Les chiffres

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  • SUCCESSIONS ET DONATIONS : les nouvelles règles

    heritage heureux.jpg L’article 5 de la loi  n° 2012-958 du 16 août 2012 de finances rectificative pour 2012  a effectué  divers aménagements du régime des droits de mutation à titre gratuit, en particulier de ramener à 100 000 euros l'abattement applicable à celles de ces mutations qui s'effectuent en ligne directe, ainsi que de porter de dix à quinze ans le délai de reprise des donations.

     

    Le délai de reprise maximum  en matière de droit de succession est toujours fixé à  6 ans  à compter de la date du décès  (article L186 LPF)

     

    pour lire et imprimer la tribune complète

     

     

     

    I. Le droit antérieur au 17 aout 2012. 1

    A. Les principes généraux. 1

    B. Des règles qui ont évolué au cours du dernier quinquennat2

    1. Les allègements de DMTG issus de la loi TEPA.. 2

    2. Puis un alourdissement pour  l'allègement de l'ISF de 2011. 3

    II Le dispositif vote. 4

    A. La diminution des abattements applicables en ligne directe. 4

    Le tarif applicable au 17 aout 2012. 4

    Les abattements en vigueur au 17 aout 2012. 5

    B. L'allongement à quinze ans des délais de reprise entre deux mutations à titre gratuit5

    C. La suppression de l'actualisation des seuils du barème des DMTG  ainsi que des abattements. 6

    Composition du patrimoine net des ménages par décile. 7

  • Raymond BARRE et l'imposition de la fortune

    rapport sur les fortunes.jpg

    Inédit le rapport R Barre sur l’ISF

     

    l'actualité remet en piste le rapport de R Barre  sur l'imposition de la fortune; sa conclusion en 1978 déjà était  de bon sens . 

    Mais la création d’une taxe annuelle sur la fortune aurait des inconvénients économiques très sérieux : dans la mesure où elle provoquerait une certaine réorientation des placements, il y aurait plus de probabilité pour que celle-ci se fasse en faveur de placements non productifs ou à l’étranger plutôt que dans un sens profitable à l’économie nationale ;

     le risque existerait d’autre part que, dans la difficile conjoncture actuelle, l’activité de la construction, le progrès de l’agriculture, les coûts de production des entreprises industrielles, artisanales et commerciales, le développement du marché financier, soient affectés par les contrecoups financiers et psychologiques de l’existence d’un tel impôt.

    Note de P Michaudla question de l’ISF nous concerne car elle au cœur du débat sur la conciliation entre justice sociale et efficacité économique .Le bouclier fiscal a été  trahi en décembre 2007  par des ultralibéraux  alors que le projet de loi permettait une justice sociale

    A ce jour l’ISF est un boulet économique   car il s’agit d’un impôt sur le capital dont les deux seuls Etats protecteurs du principe sont encore la France et la Suisse -à sa façon-, et l’application du bouclier fiscal peut créer une inégalité fiscale 

     

     

     

    ISF : un projet « sondage d’opinion »  vu par les échos



    le bouclier fiscal est la béquille de l’ISF

     

     L’Impôt minimum : A vous de juger ?

     

     

    Depuis près d'un siècle, le problème de l'imposition de la fortune fait l'objet en France de controverses vives et passionnées. le projet de loi de Joseph Caillaux, ministre des Finances en 1914 ne vint jamais en discussion devant la Chambré des députés ; repris en 1924 par le Cartel des Gauches, il n'aboutit point. De nouvelles propositions furent formulées après la Seconde Guerre ; le débat repris de son acuité lorsque en 1972 les partis de l'opposition firent figurer cette proposition dans leur programme. Conformément à l'engagement qu'il prit lors de la campagne pour les élections législatives de mars 1978, le Premier ministre Raymond  Barre désigna en juillet 1978 une commission de trois personnalités pour étudier ce problème.

     

    Dans le cadre des réflexions sur le maintien de l'ISF,je blogue le rapport que MM VENTEJOL,BLOT et MERAUD ont remis à Mr Raymond BARRE,premier ministre , en décembre 1978 sur l'opportunité de créer un prélèvement sur les fortunes.

    Cet ouvrage historique - épuisé - peut être "consulté " à la bibliothèque de la documentation française (0140157272) et "commandé" à la National Library of Australia ou sur le site LE LIVRE.COM 

     

     

     

    Rapport de la Commission d'études
    d'un prélèvement sur les fortunes 

    Documentation Française 1979

     

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  • @Tarifs de l'Enregistrement des cessions d'actions depuis le 1er aout

    tarifs de l'enregistrement  des cessions d'actions depuis le 1er Tarifs de droits d''Enregistrement  des cessions d'actions et de parts sociales depuis le 1er aout

    Les droits d’enregistrement sur la cession des titres de différentes formes de sociétés cotées ou non ont été largement modifiés au niveau de la nature des cessions, des taux et de l’assiette

    Un point définitif ( ?°) a été franchi le 1er aout 2012 et l’article 726 du CGI a été modifié en conséquence

     

    Depuis le 1er août 2012 : les taux des droits d’enregistrement exigibles sont les suivants : 

    Ø      Sur les cessions d’actions cotées ou non, le taux .est fixé à 0,1% en faisant toutefois une distinction entre la constatation ou non par un acte

    Ø      Sur les cessions de parts sociales, le taux est de 3%

    Ø      Sur les cessions de titres de sociétés à prépondérance immobilière,le taux  est de 5% 

    L’administration a publié une instruction sur certains aspects que nous reprenons ci dessous 

    Article 726 du CGI

    7 D-1-12 n° 62 du 4 août 2012

    Les définitions des SPI

    RESCRIT  N° 2012/07 (ENR) du 8 février 2012

     Définition d’un acte en fiscalité

    Documentation de base


     

    7 D-2-08 n° 99 du 26 novembre 2008 :
    . Cessions de droits sociaux. Harmonisation du tarif de droit commun. 

     

     Enregistrement  des cessions d'actions depuis le 1er aout
    pour lire et imprimer cliquer
     

     

    HTLM

     

             A-Cession d’actions de sociétés cotées ou non cotées. 1

    Précisions sur la notion d'actions cotées. 2

    Précisions sur la notion d'acte :2

    Cessions de blocs d’actions. 2

    Définition de l’acte de cession. 3

    Précisions relatives au champ d'application territorial:3

    Exonérations. 4

    Précisions relatives à la territorialité. 5

    Précisions relatives aux opérations régies par un droit étranger6

    Précisions relatives à la territorialité des entreprises gérant des marchés financiers. 6

    B-Cessions de parts sociales. 6

    C-cessions de participations dans des sociétés à prépondérance immobilière.6

    D-Assiette du droit d enregistrement7

    Pour les sociétés non immobilières. 7

    Pour les sociétés à prépondérance immobilière. 7

    E-Formalités pratiques. 7

    Date et lieu du dépôt de la déclaration 2759. 7

    Modèle de déclaration 2759. 8