evaluation fiscale et contestation

  • Evaluation fiscale et l’avocat fiscaliste

    EVALUATION.jpgEvaluation fiscale et l’avocat fiscaliste

     

    La question de l’évaluation fiscale et le contrôle fiscale est peu connue et peu documentée

     

    Souvent, les contribuables oublient d’utiliser ce moyen de droit qu’est la demande de la saisine de la commission de conciliation ou la demande d expertise judiciaire ou non judicaire

     

    Hors l’expérience de l'avocat  fiscaliste prouve que ce moyen de procédure est très utile pour arriver à un accord amiable avec les inspecteurs  et  ce tant en fiscalité interne tels que le contentieux des doits de succession, de l’impôt sur la fortune et aussi le contentieux des évaluations tant des immeubles que des valeurs mobilières  qu’en fiscalité internationale

     

    Comme je le précise souvent, les règles françaises du contentieux fiscal ,surtout du contentieux de l’impôt par rapport au contentieux du trésor public ,est un des plus protecteur au monde  encore faut il que les contribuables savent l utiliser

     

    Le cercle des fiscalistes vous propose ci dessous  les fiches techniques précisant ces dispositions

     

    mise à jour novembre 2011

    Des  titres cotés, évalués pour des droits de donations

    à une valeur supérieure au  cours moyen

     peuvent ils être cédés sans plus value imposable ?

     

    dès lors que l'article 150-0 D du code général des impôts prévoyait que, pour le calcul du montant de la plus-value taxable en cas de cession de titres, le prix d'acquisition des titres obtenus à titre gratuit devait être fixé à la valeur retenue pour le calcul des droits de mutation, cette valeur devait en principe être prise en compte, qu'elle procédât d'une déclaration du contribuable au titre des droits d'enregistrement ou, le cas échéant, d'une rectification de cette déclaration par l'administration fiscale ;

    il n'aurait pu en aller autrement que si l'administration avait établi que la valeur retenue pour les droits d'enregistrement était dépourvue de toute signification ;

    il s'ensuit que M. et Mme A sont fondés à soutenir que l'arrêt attaqué est entaché d'erreur de droit et à en demander, en conséquence, l'annulation

    Conseil d'État, 3ème et 8ème sous-sections réunies, 12/10/2011, 324717

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