O Fouquet la sécurité fiscale : le mythe de Sisyphe ? (10/05/2015)
Une définition du mythe de Sisyphe
L’ Association pour la fondation internationale de finances publiques a organisé un important colloque sur la SECURITE FISCALE avec un panel composé notamment de conseillers d'etat ,de professeurs de droit et de hauts fonctionnaires de la DGFIP
Le thème de la sécurité est un thème indispensable pour l’information de nos concitoyens mais à notre avis il n’est pas suffisant.Par ailleurs il aurait été intéressant d'entendre un exposé sur les conséquences économiques et budgétaires de l'instabilité fiscale,juridique et sociale à la francaise.Les ressort de la confiance ne sont pas seulement juridiques ......
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Nous remercions notre ami Olivier Fouquet de nous permettre de diffuser son rapport introductif
RAPPORT INTRODUCTIF par Olivier FOUQUET
Président de Section (h) au Conseil d’Etat
LA SECURITE FISCALE : LE MYTHE DE SISYPHE ? cliquer
1) Le thème de la sécurité fiscale est ancien et pourtant il apparaît toujours nouveau. Comme un phénix renaissant de ses cendres, il ressurgit régulièrement comme s’il était l’antidote à l’incohérence de la politique fiscale.
Dans l’histoire de la fiscalité française, les cérémonies incantatoires se sont déroulées de façon régulière sur l’autel de la sécurité fiscale.
Nous ne rappellerons que quelles que unes parmi les plus marquantes de ces cérémonies. La commission Aicardi de 1986 qui a conduit aux substantielles réformes de la loi n°87-502 du 8 juillet 1987 et notamment à la création de la Charte des droits et obligations du contribuable vérifié qui demeure aujourd’hui un des éléments essentiels de la sécurité fiscale. Le rapport Gibert de 1984 « améliorer le sécurité du droit fiscal pour renforcer l’attractivité du territoire » qui a conduit à la généralisation du rescrit
Pour lire la suite du rapport Fouquet cliquer
- Le conseil d’état et le principe de sécurité juridique
- Le conseil d’état et la complexité du droit
- Sécurité juridique et complexité du droit - Rapport public 2006
- Rétroactivité, instabilité et confiance légitime*
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